mardi 24 août 2010

Jour 24 Ep 01

The Dead of Night

Les choses touchent à leur fin. Je réécris la partie sur Usenet, j’ai ajouté une partie sur l’illusion groupale, et puis il faudra que j’écrire une introduction générale et une conclusion générale.

Mauvaise nouvelle, je découvre que le partie que j’avais écrit sur les phreakers est absente de mon disque dur. Il va falloir que je le réécrive.

 

Mais vous prendre bien un bout de thèse ?

La duplicité de l’enveloppe numérique vis-à-vis de la trace – conserver à la fois trace de tout et de rien – ouvre des boulevards a des positions paranoïdes et perverses. D’un coté, les mondes numériques seront décriés pour la facilité avec lesquelles les objets sont modifiables – et donc falsifiables – et parce qu’ils constituent un dispositif panoptique par lequel le comportement d’individu peut être suivi littéralement à la trace, et ce sur des années. De l’autre, les jeux du pseudonymat permettent le relâchement de bien des inhibitions au prétexte que « c’est du virtuel », c'est-à-dire que l’on peut y faire n’importe quoi puisque finalement rien ne marque

 

Crédit photo : The Dead of Night par Scott Ableman

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